
5 juin 2025
Mythe ou réalité : 5 idées reçues sur l’impartition des fonctions commoditaires
RH, finances, TI, marketing, gestion…
L’impartition soulève régulièrement les mêmes interrogations :
Est-ce vraiment rentable ? Perd-on le contrôle ? Est-ce adapté à une PME ?
Ces idées reçues sont tenaces, mais elles ne reflètent pas toujours la réalité sur le terrain. Voici cinq croyances fréquentes et les faits à connaître pour prendre une décision éclairée.
Mythe 1 - Impartir, c’est plus coûteux qu’embaucher à l’interne
Faux.
Comparer un tarif horaire à un salaire annuel ne dit pas tout.
Un poste à l’interne, c’est aussi les charges sociales, les congés, la gestion RH, la formation, les remplacements… L’impartition permet d’activer une expertise précise, au bon moment. Moins de coûts fixes, moins de temps perdu, moins de risques.
Quand c’est bien structuré, c’est souvent plus rentable — à la fois sur le plan financier et opérationnel.
Mythe 2 - L’impartition dépersonnalise la fonction
Vrai… et faux.
Oui, ça peut arriver... Surtout si le fournisseur applique une méthode toute faite, sans comprendre votre contexte.
Mais un partenaire réellement impliqué fait tout le contraire. Il s’intègre, respecte vos priorités, comprend votre culture et agit avec rigueur. Chez Komplice, on se fait un devoir d’être proche de nos clients, de bâtir une relation de confiance et de collaboration. Parce que la Komplicité, c’est la clé de notre approche.
Mythe 3 - On perd le contrôle en confiant une fonction à l’externe
Faux.
Impartir, ce n’est pas lâcher prise.
C’est clarifier les rôles, structurer les processus, définir des objectifs mesurables. Avec les bons outils et une gouvernance claire, on observe souvent un gain de contrôle : meilleure coordination, meilleure documentation, décisions plus rapides.
L’impartition bien encadrée, c’est la maîtrise retrouvée.
Mythe 4 - L’impartition, c’est pour les grandes entreprises
Faux.
Les grandes entreprises ont les moyens d’internaliser. Les PME, elles, doivent optimiser chaque ressource. Et c’est là que l’impartition devient un levier. Elle donne accès à des expertises pointues, sans charge permanente. Flexible, évolutive, elle s’adapte à votre cadence et à vos priorités.
C’est une solution particulièrement utile en période de croissance, de transition ou de réorganisation.
Bonus - L’intelligence artificielle va remplacer ces fonctions
Partiellement vrai.
L’automatisation avance. Des tâches simples peuvent être déléguées à des outils intelligents. Mais ces outils ne remplacent ni le jugement, ni la compréhension fine des enjeux, ni la vision globale. Ils n’interprètent pas les signaux faibles. Ils n’alignent pas une action sur une culture.
Chez Komplice, on croit à la complémentarité : la technologie au service de l’expertise humaine.
En conclusion
L’impartition, ce n’est ni une perte de contrôle, ni une solution impersonnelle.
C’est un levier. Un accélérateur. Une façon d’évoluer sans alourdir sa structure.
Et surtout, c’est une décision qui peut (et doit) être alignée sur votre réalité, vos valeurs, vos objectifs.
Vous vous posez encore des questions ?